PutGariWa ou la grande grande putain de l’avarice
L’avarice est un péché qui en engendre beaucoup d'autres.
Ainsi, PutGariWa, traine avec elle les « sept catins de l’avarice » : la trahison, la fraude, la tromperie, le parjure, l'inquiétude, la violence et la dureté de c½ur.
PutGariWa instrumentalise en effet la communauté BllodBowlistique, qui est nié dans son humanité et qui ne représente, à ses yeux, que l'occasion d'alimenter son vice.
L'avarice conduit au plus grand des maux : l'indifférence.
Fini les notions de compassion, de générosité, d'aumône, de charité, de service rendu à l'autre qui étaient présente lors des débuts du BloodBowl.
La nouvelle structure économique des sociétés modernes a favorisé l'apparition de la bête.
Mais il ne faut pas être dupe, quand PutGariWa rejette le consumérisme, ce n'est pas un geste ou une posture BloodBowlistique, elle le fait par pur dérèglement psychique.
Si elle consomme peu, c'est parce que cela lui coûte.
Lui offre-t-on des choses à consommer, elle les consomme sans complexe - et même au-delà de ses besoins.