TOI AUSSI, POUSSE LA PORTE DE LA LUTECE…
Témoignages de forts encouragements d'anciens et d'actuels joueurs :
« J’avais de bons jarrets et de solides épaules, mais la peau de la plante de mes pieds était encore trop fine et délicate comme celle d’un jeune novice, de sorte que pour me rendre à mon rendez vous de match malgré les grève je souffris tout ce qu’il est permis d’imaginer ».
« Il y avait plus de 6 journées que je ne mangeais que des défaites. Cela m'a donné la diarrhée et je ne pouvais plus tenir sur mes jambes. On aurait dit que j'avais des jambes de cire. J'avais le visage pâle et livide comme un fantôme. Je ne pouvais pas marcher une demi-lieue sans avoir mal au C.. ».
« Mon adversaire voulut se présenter pour boire un verre. Hélas ce n'était pas le but de la rencontre ! Quel tapage cela faisait ! Toute la terre en tremblait. Le lieu du match était couvert par une fumée si épaisse qu’on ne pouvait le voir. On n’apercevait que des jambes cassées, des têtes mutilées et des bras séparés du tronc. C’était un horrible carnage, le sang coulait. La chaleur du match m’avait donné une telle soif que je fus forcé de boire 3 bières avec mon adversaire ».
« Jamais je n’ai vu une pareille action, ni une confusion de tant d’événements à la fois. Les cris différents des vainqueurs, des vaincus et des quelques spectateurs, la fumée, le feu, le bruit, l’éclat des armures, l’explosion des cranes qui sautaient à chaque instant, les membres qui volaient et éclataient en l’air, les immenses débris de toutes parts ; mais le pire de tout cela, c’étaient les malheureux joueurs blessés qui étouffaient et rôtissaient sans secours dans les flammes des enfers ; le feu purificateur prenait partout sur le terrain et en dehors ».
« Le joueur de BloodBowl a tout d’abord peur de la mort violente, il cède à une révolution interne dont il n’est pas le maître, et qui réagit sur les facultés de l’âme. Mais le premier moment passé, la volonté prend le dessus, le bruit du match, l’exaspération fébrile des sens, les folies des émotions d’horreur et d’admiration, tout cela excite le joueur au dernier degré »