Lutèce Cup

vlad peux te filer deux trois trucs sur l'art de la fuite

oh si que je la sens! avec le priapisme que je me tape depuis hier

en revanche c'est vlad qui se sent plus chier je crois

scampi a écrit:

vlad peux te filer deux trois trucs sur l'art de la fuite

Quand est ce que mon équipe a fuit? Bien au contraire, c'est pas moi qui faisait 11 esquives à chaque tour !

Moi, je faisais que te rentrer dans le lard.

Mais face à un mec qui te sort 3 mecs en un tour, c'est dur de tenir. Heureusement que ça régénère parce que sinon, on aurait fini à 5 sur le terrain !

Quelques heures après le match, Bocar se réveilla en sursaut. Après quelques secondes de doute, il reconnut l’infirmerie de l’équipe. Il regarda à sa gauche et vit Romain. Sa hanche paraissait complètement démolie. Même s’il était n’était pas hanchologue mais proctologue, Bocar se dit que le trois-quarts ne courrait jamais plus comme avant. Il se tourna à sa droite, et vit Boubakar. Ses deux jambes étaient plâtrées, Bocar était sûr que son collègue ne serait pas remis pour le prochain match et se mit à l’envier malgré lui. Il se sentait plutôt en bonne forme, à part son mal de tête et ses multiples contusions. Sa blessure ne devait pas être si grave, mais il n’arrivait pas à se souvenir ce qui lui était arrivé.
Il ferma les yeux et essaya de regrouper ses souvenirs. Il faisait beau, les supporters du PSG étaient venus en nombre et…
« Réveillez-vous les gars, j’ai une grande nouvelle! »
La voix du Ong le sortit de son sommeil. Il faisait maintenant jour, plusieurs heures s’étaient écoulées. Autour de lui, tous ses partenaires étaient regroupés, le coach ayant choisi de faire le débriefe d’après-match à l’infirmerie, afin que tout le monde puisse l’écouter.
« Je vous ai prévenu les gars, mais vous en avez fait qu’à votre tête ! Quand je dis : Si vous voyez la balle, c’est que vous êtes dans une zone dangereuse, éloignez-vous le plus vite possible, et surtout sans le ballon si vous tenez à votre vie ! Qu’est-ce qu’il y a de compliqué ? Résultat, qu’est-ce que je vois ? Mon équipe essaie de contrer l’attaque des nécros. Pire que tout, je vois Charles récupérer la balle. Espèce d’abruti d’ogre !!!
- Coach, ça sert à rien de vous énerver. Charles n’est plus là pour vous entendre. Et même s’il était là, il n’aurait rien compris, répondit Adrien. Coach, nous avons essayé de gagner ce match, et nous avons eu tort. Vous aviez raison. Maintenant que nous avons vu la mort emporter Charles, nous avons compris votre message. Nous ferons de notre mieux pour survivre encore deux fois à la mort, en écoutant vos conseils.
Bocar regarda autour de lui, il cherchait Charles des yeux. Ne le voyant pas, il se mit à crier :
« Charles est mort ? Notre invincible ogre ? Ce n’est pas possible, je…
- Ta gueule l’hétéro!!! interrompit Karim.
- Quoi ? Qu’est-ce que tu racontes ? Ca va pas de me traiter d’hétéro comme ça ?
- Regarde autour de toi mec. Charles n’est plus là, Romain a la hanche démolie, Bouba a les deux jambes cassées, et tous les autres, nous avons pris des coups, nous avons tous été blessés au cours de cette guerre. Mais nous nous sommes relevés. Tous sauf toi, mec. On s’est tous relevé pour affronter la mort, sauf notre capitaine qui avait trop peur et a préféré sortir en simulant une blessure à la tête. Karim a raison mec, tu n’es qu’un hétéro refoulé.
- Ta gueule Adrien, je me suis battu comme vous. Mais j’ai été blessé, et…
- Où sont tes blessures ? L’apo nous a même dit : ce n’est rien, ce n’était qu’une blessure légère.
- Je… J’ai…
- Nous ne voulons plus de toi comme capitaine, tu es la honte de notre équipe mec.
- Bon, les filles, je peux parler ou pas ? reprit le Ong. Je ne reviendrai pas sur ce match, vous savez maintenant ce que c’est d’affronter la mort. Mais écoutez-moi bien les gars, j’ai obtenu la solution pour affronter la mort. »
Alors que l’équipe restait suspendu aux lèvres du coach, le Ong sortit de sa poche deux petits cubes, un bleu et un noir.
« De quoi s’agit-il ? demanda Adrien.
- Des reliques de la mort : des dés très spéciaux. Ils m’ont été remis par Tristelune lui-même à la fin du match. Grâce à eux, la mort me considère maintenant comme un de ses messagers, et nous tuerons nos prochains adversaires en son honneur ! »
L’équipe se mit à hurler de joie, tout restait donc possible grâce aux dés de Tristelune. Bocar interrompit l’allégresse ambiante :
- Coach ?
- Quoi Bocar ?
- Vous plaisantez ? Ces dés, j’en ai déjà vu plein comme ça. C’est un dé Impact et un dé Tisseur, ça n’a aucun rapport avec une relique de la mort.
- Ah bon ? Bon ben… Quelqu’un connaîtrait-il un suicidaire ? On passe de 13 joueurs à 10, on a donc besoin de trouver un journalier prêt à mourir lors de notre prochaine rencontre avec la mort »

Je dirais plutôt défaite du ong.

merde un ogre mort
moi qui voulais te le tuer
parcontre mal joué la BL sur le garde car lui je l'aime pas

Merci Tristelune d'avoir vengé Vencarl ! C'est ce salopiaud d'Ogre qui lui a fait si mal